La Sécurité sociale considère de nombreuses médecines douces comme non fondées. En raison de cette idée, cet organisme public refuse de rembourser le recours à ces pratiques. Cependant, depuis quelque temps, certaines médecines douces comme l’hypnose ou encore l’acupuncture peuvent être utilisées en complément d’un traitement. Ainsi, l’Assurance sociale couvre les consultations à hauteur de 70 % (homéopathe…) et les produits à 30 %. Pour une meilleure couverture, tournez-vous vers un bon complémentaire santé.
Les médecines douces : qu’est-ce c’est ?
Les médecines douces connues aussi sous le nom de médecines non conventionnelles ou médecines holistiques regroupent plusieurs centaines de pratiques thérapeutiques dont la fiabilité n’a pas encore été prouvée par la science. Elles sont habituellement considérées comme des pseudosciences. Nombreuses d’entre elles se réclament de la tradition (asiatique, européennes…).
Les médecines douces sont souvent employées en tant que complément à une thérapie. Par le malade à recours à la massothérapie pour atténuer la douleur d’un traitement conventionnel. Selon un récent sondage, près de 20 à 50 % des Européens ont recours à ces techniques pour combattre un symptôme (douleur, fatigue…).
Quelles sont les disciplines qui ne sont pas remboursées
Certains domaines de la médecine douce ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale. On peut prendre comme exemple :
- La luminothérapie qui est une technique permettant de rétablir les troubles du cycle circadien ainsi que la dépression saisonnière. Elle consiste à exposer le corps à une lumière proche de la lumière solaire.
- La phytothérapie qui désigne l’utilisation des plantes pour soigner certaines maladies. Elle peut présenter des dangers sur la santé, car il est difficile de maitriser le taux des principes actifs qui se trouvent dans les plantes.
- La réflexologie qui consiste à masser les pieds selon un précepte selon lequel chaque organe du corps est connecté à la voute plantaire.
D’autres ne sont pas reconnues par la communauté scientifique comme la sophrologie ou la litho thérapie, c’est pourquoi elles ne sont pas remboursées ni par la Sécurité sociale, ni par les complémentaires santé.
Pour en savoir davantage sur les médecines douces, n’hésitez pas à visiter le site de medoucine. Vous y découvrirez des informations inédites sur ces pratiques.
Le remboursement par les complémentaires santé
La prise en charge des médecines douces par la Sécurité sociale est très restreinte. Aussi, pour espérer un remboursement beaucoup plus avantageux, tournez-vous vers les complémentaires santé. Prenez le temps de bien choisir le contrat qui convient à vos attentes.
Certes, cela peut prendre beaucoup de temps, mais c’est primordial afin de ne pas se tromper. Une petite astuce : n’hésitez pas à utiliser un comparateur de mutuelle. Il s’agit en général d’un site qui propose gratuitement leurs services afin de vous dénicher l’assurance adaptée à votre situation.
En conclusion
Les médecines douces se développent rapidement, car elles offrent plusieurs avantages : elles sont moins invasives et elles ne possèdent que très peu d’effets secondaires. Le remboursement de la part de la Sécurité sociale dépend de plusieurs conditions, c’est pourquoi il est conseillé de se tourner vers les complémentaires santé. Pour trouver celui qui répond à vos besoins, faites des comparaisons ou engager un courtier en assurance.
Alice est une passionnée et curieuse du bien-être. Elle a expérimenté de nombreuses pratiques : la méditation, la nutrition saine et les thérapies alternatives. Elle vous partage ici ses expériences.